[RP Collectif] La Taverne.

[HRP]je propose d'associer au moins un adjectif à chaque Brakmarien histoire de nous différencier '-'[/HRP]

Elle est mignonne,
Mais par Djaul elle comprend pas vite.
Si c'est à moi qu'elle parle.
J'ose espérer.

"Ouais une bière,
Mais j'ai dit une vraie bière.
Et mon sanglier aussi.
A moins que tu veuilles que je mange la table ?"

D'ailleurs l'autre là il parlait du Chabrulé.
Leur bière valait pas la Bwork de l'autre taverne du même nom,
Mais les piliers de comptoirs avaient une réserve de brèves inépuisable.
Et puis quand le patron manquait d'effectifs et de ravitaillement,
Il savait s'abstenir, et avait la politesse de fermer l'établissement.

[HRP] Approuvé Khadin, encore faut il qu'on trouve des signes distinctifs [HRP]

"D'où je viens ? De Sidimote pardi, sinon je n'aurais pas vu les cohortes bontariennes. Je devais retrouver un ami à Gisgoul après l'achat d'une maison à Brakmar, mais il m'a posé un wabbit comme on dit..."
Il lui pose quelques kamas en plus dans les mains pour la remercier.
"Devriez pas faire c'métier ma mignonne. Surtout si c'est pour vous écraser, rougir ou vous enfuir face aux regards des clients. Z'avez surement d'autres qualités qui vous rendrais la vie plus simple."

Il regarde rapidement sa monture par la fenêtre, le froid semble être mordant et le vent semble souffler encore plus violemment qu'à son arrivé. Il se retourne ensuite vers la xelor qui semble être agacée.
Elle a pas trop l'air commode celle là...
"Du coup je disais, vous nourrir un peu puisqu'il semblerait que vous aimiez le sang. En plus je ne suis pas certains que beaucoup d'aventuriers, surtout dans cette taverne, accepte de vous donner le leurs. Pour ce qui est de la milice, je n'y appartient plus. Mustam est vraiment abject, et stupide. Contrairement à ses prédécesseurs, bien qu'un peu mous.
Et pour finir, pour dormir, il y a des chambres. Qui servent aussi a passer du bon temps vous savez. Et ne vous en faites pas, je ne compte faire ni l'un, ni l'autre avec vous. Ah... mais tient."

De la musique semble venir des cuisines, et une troupe de musiciens en sors accompagné du gros tavernier. L'air entraînant proposé par la troupe fait se lever quelques aventuriers et aventurières qui se mettent à danser.
"Quoi que, pour le bon temps on peut toujours se le permettre. Surtout pour une fille de Xelor !"
Il se lève, pose un pied sur son tabouret et lui temps la main.

[HRP] Pour Thor, vous avez le choix : Le beau gosse, l'imbécile, le morfale, le Iop, le type aux cheveux rouge, ou juste Thor [/HRP]

"Oh ouais, de la musique, c'est bien ca !!"
*Le Sacrieur se lève, grimpe sur son tabouret et commence à danser, avec un certain talent, sautant de table en table, enchaînant mouvements simples comme plus compliqués, se tenant parfois sur les pieds ou une seule main, voir quelques doigts à peine le temps de faire un saut périlleux ou quelque cascade amusante et nécessitant quelques années de pratique*
"Aucune jolie serveuse pour danser avec moi ?" *Il passe une main dans son dos et l'autre tendue devant soi en tournant sur lui-même, invitant quelconque serveuse à lui prendre la main pour le rejoindre sur une table*

[HRP] Une chose que j'ai pas précisée et qui va pouvoir servir: mon personnage a un oeil en moins [/HRP]

Si tu mets un pied sur mon coin de table,
Je te le coupe et te le fais manger,
Petit.
Et ça tombe bien t'as l'air gourmand.

Puis la musique et la danse,
Elles sont comme cette taverne.
Plus ce qu'elle étaient.

Quelle époque.

Je crois que j'ai pas la choix.
Je vais devoir faire mon service moi-même.

[Il quitte son tabouret, ne prêtant aucune attention à ce qui l'entoure, et se dirige d'un pas nonchalant vers la porte des cuisines.]

L'Eniripsa devance le borgne et se rend aux cuisines avant d'y revenir, les bras chargés du sanglier énorme et fumant les épices et de la bière brune, puis observe d'un oeil amusé le Sacrieur, montant sur la table, lui prenant le bras et commencant à danser avec grâce avec lui puis, s'adressant au Féca :

"-Ce n'est pas parce que je parais timide et frêle que je le suis forcément... *rougit* Les apparences sont parfois trompeuses... Quand à mes qualités, elles ne sont bonnes pour ces messieurs qu'à ceux voulant bien les voir... et nombre sont les aveugles par ici, si vous voyez ce que je veux dire..."

Descend de la table, gracieuse, et prend le bras d'un autre homme lui tendant la main, exécutant quelques jolies passes de jambes fines, s'éloignant un peu de la table d'aventuriers, avant d'y revenir, accompagnée encore d'un autre homme.

"-Vous m'avez l'air plutôt sympathiques, messieurs. Vous n'avez pas l'air comme tous ces gens d'ici, qui ne se rendent pas compte que les serveuses d'ici sont ce qu'elles sont : des femmes, des vraies."

La jeune femme pâle leur sourit de nouveau en rougissant un peu, continuant de danser d'une allure fluide et contrastant étrangement avec les hommes rustres près d'elle, se faisant remarquer par la blancheur de sa peau sur ses vêtements sombres et son jeu de corps expressif et travaillé.

*grommelle...* Ai-je l'air d'une demeurée qui sort des cryptes du cimetière des torturés...je ne m'en nourris pas...je le fais volé...je le fait pleuvoir, a coup d'épée, c'est mon devoir...pour le bon temps c'est ni maintenant ni jamais, je ne puis défaillir...Au déplaisir de vous avoir parler...

Se téléporte a sa place.

Le feca se rasseoit visiblement déçu, et se met a observer les autres danser en buvant sa bière
Ah ce qu'elle lui ressemble. Il faudrait que je lui la pésente, elles s'entendraient c'est certain!
Mais elle a quelqur chose en plus. Un poeme dans ses paroles.
Une marchombre peut être.
Il chantonne tout bas, ses paroles emportée par la musique et les pas des danseurs :
"Il vole et virevolte, passant et repassant.
Beau temps passé et au destin incertain.
Il rase, tranche et detruit, un ouragan.
Heuteux celui qui t'as dans la main
D'un baiser sanglant embrasse celui qui t'attend
Egorge en chemin celui qui t'etreins.
Immortel, eternel balaie les puissants.
Le temps"

il termine sa bière et entreprend de monter dans la chambre qu'il a réserver. Evitant les danseurs à coup de coudes, il se fraie un chemin jusqu'à l'escalier s'arette sur la première marche et regarde la salle bondée et agitée.

L'albinos remarque le Féca qui ne lui a pas répondu et lui adresse un petit signe de la main en souriant, rougit un peu et, pour la première fois de la soirée, le fixe de ses yeux bleus aux reflets roses si particuliers. Voit l'autre serveuse passer, lui parle dans l'oreille par-dessus le bruit ambiant en faisant quelques signes des mains, sans vraiment quitter longtemps le disciple de Féca des yeux, ou du moins pas longtemps.

[HRP] CF mon profil, mon personnage a à peu près l'air de ça [/HRP]

Ah, quand même.

Il est pas trop petit et a l'air mangeable.
Juste un détail.
Je vois pas la trace du surin.
J'espère qu'il n'en ont pas ramassé un mort de vieillesse,
Ce qui expliquerait cette surdose d'épices...

Et si ce Sacrieur y touche,
Je le mange à la place.

Et si cette serveuse y met son pied,
J'enseigne le viol à toute la taverne.

Le féca parcourt la pièce du regard une dernière fois, s’arrêtant sur la xélor, les danseurs et finalement sur la serveuse qui semble l'observer en souriant, il la remarque, lui rend son sourire suivit d'un clin d’œil.

Il monte ensuite à l'étage dans sa chambre.

J'espère que c'est pas une de ces piaules de campagnes miteuses Et merde, j'ai oublié de demander si c'étais une chambre collective ou non. Avec ce monde ca m'étonnerais pas que je me retrouve un boulet dans ma chambre... Enfin on verra bien

Il ouvre la massive porte de bois, donnant sur une très belle chambre composée de 2 lits aux couvertures bleus, une grande table, 5 chaise en osier tressé, un large tapis de laine et d'un porte manteau en bois sculpté représentant un chêne mou.

Oh, c'est pas du tout ce a quoi je m'attendais. C'est limite luxueux.

Il va jeter un coup d’œil par le fenêtre, on peut apercevoir le temple Iop au loin malgré son faible éclairage. Il ferme les rideaux plutôt satisfait.

C'est parfait, on a une belle vue, je pourrais surveiller un peu ce minotoboule. Ca serait bête de laisser une telle occasion filé...

Il pose ses guettas et s'assoit sur le lit double. Il finit par remarquer le calendrier, dont les premiers jours sont rayés.

4 Javian hein... Djaul serait pas en train de grapiller des jours à Jiva ? Avec cet hiver violent ca m'étonnerais pas.... Eh mais pourquoi y'a un lit double et un simple dans cette chambre, c'est bizare pour une chambre collective.... Décidément il font rien comme les autres ici...

Il s'allonge, la tête posée sur un oreiller moelleux et son chapeau devant le visage.

La jeune femme suit le féca, monte doucement les marches et arrive à l'étage, regarde les portes, en voit une qui n'est pas fermée à clé et frappe avant d'entrer, puis rougit en le voyant allongé sur le lit :

"-Si vous avez besoin d'aide ou quelque chose à demander, monsieur..."

Se rend près de la table de chevet et rempli le verre avec l'eau de la carafe à côté, puis rougi et ressort un peu précipitamment, refermant la porte derrière elle, redescend les marches dans le brouhaha incessant, esquisse quelques passes de danse avec plusieurs hommes et la serveuse, et se rend de nouveau vers la table d'aventuriers, haussant la voix pour se faire entendre :

"- La viande est-elle à vôtre goût, monsieur ?"

Tandis que musiciens, aventuriers et danseurs boivent et s'amusent, un groupe de roublards encapuchonnés s'approche de la taverne.
Quatre hommes de grande stature et quatre femmes quasiment aussi grande que leurs compères, armés jusqu'aux dents : pistolets, épées longues, bombes et pièges.
Le froid les a rendus encore plus grincheux que d'habitude. Tout ce qu'ils veulent ce soir, c'est détrousser des aventuriers pour dormir au chaud plus tard.
Ils se décident alors d'entré dans la taverne. Fracassant la porte, comme tout roublard qui se respecte et pistolet pointé en toutes directions l'un d'eux lance :
"Les kamas, les femmes et les objets de valeurs, ou sinon ça sera votre vie !"

La jeune femme aux couleurs de l'astre lunaire se fige et se retourne en voyant les hommes entrer, jette un coup d'oeil vers l'autre serveuse qui, elle aussi, a arrêté sa besogne et s'est retournée, puis toussote en rougissant, d'une voix calme d'où ne semble émaner qu'un très léger agacement bien masqué :

"- Bonsoir messieurs mesdames. Nous sommes dans une taverne, si vous souhaitez des objets de valeur ou des kamas, je ne puis que vous conseiller l'hôtel de vente des bijoutiers."

L'albinos incline cependant gracieusement la tête et avise un tromblon d'un oeil rose et respectueux, puis tourne la tête vers le bar où le tavernier semble s'être soit mis à genoux pour se cacher, soit enfui dans l'arrière-salle. Elle soupire un instant, visiblement dégoutée par son attitude, et retire de sa ceinture une bourse presque pleine semblant contenir quelque centaine de kamas, la lancant doucement à l'une des roublardes.

Le jeune Sacrieur, ayant visiblement finit de détrousser les tables voisines de leur repas, attrappe la bourse de kamas au vol et la relance à l'Eniripsa, avalant précipitamment la viande restant dans sa bouche avant d'articuler :

"Nul besoin de vous inquiéter pour si peu, et encore moins d'y dépenser la moindre pièce, demoiselle. Les Roublards, suffit de leur cogner dessus et on en parle plus !!"

Il adresse un sourire charmeur aux Roublardes présentes avant de feindre une révérence

"Sans vouloir vous offenser, belles demoiselles."

J'aurais finalement du faire le chemin jusqu'à Brakmar sans étapes.
Dans les tavernes là bas,
On ne dérange pas tout le temps les gens qui mangent.

Puis justement,
On n'est pas à Brakmar,
Donc pourquoi je devrais intervenir ?
Je vous le demande.

[Il continue de manger tranquillement son sanglier]

se decolle de son mur et vien se mettre devant les roublardes

Je suis une femme, mais j'ai des lames...si vous me voulez...essayez de me saisir voir m'empoigner,mon maitre mot est souffrir, mais je serais vous, je regarderais derrière vous, si belle est votre vie...je vous suggéres d'emprunter cette sortie...sans pitié je suis, de mes lames vous serez punies... Qui je suis, votre pire cauchemar...je vous enverrais de mes mains dans les géoles morbide de brâkmar, votre guide mon sabre sera.

*Regarde de ses yeux rouges demonyaque de tueur *-* les quatres roublardes, bras croisé, orné d'un sourire cassant*

Un coup de tromblon retentit, des morceaux de planches tombent du plafond et s'écrasent au sol dans un craquement de bois.
Le roublard qui a tiré s'avance, son tromblon en main, et lance aux deux fous qui osaient s'interposer :
"Voyez vous ça, un maso et une vieille qui se rebellent. C'est vraiment amusant ! Mais ce n'est pas le moment de jouer la comédie, donnez nous vos kamas sans faire d'histoire ou c'est la votre d'histoire qui se terminera ici."
Il met la xelor en joue tandis que l'un de ses acolytes également armé d'un fusil viens préter main forte.

Pendant ce temps, le plus grand de la bande de crapule avait rejoins la serveuse au teint pale, l'attrapant par le poignet, il se dirige ensuite vers la sortie en ricanant. "Alors ma mignone, on est courageuse et obéissante ? J'adore ça ! Que dirais tu de te sortir de ce pétrin et de me suivre, au moins pour une nuit, ou alors pour la vie !"

Les quatre femmes quand a elles, semblaient préparé une attaque a la bombe aussi explosive que leur beauté exquise.
Elles échangent quelques mots entre elle puis se dispersent préparé leurs piège mortel, taxant au passage kamas et nourriture a tout ceux qui se trouvaient sur leurs passage.

Le dernier roublard, plus petit que ses confrères, mais toujours plus grand que la moyenne, jettait des regards haineux au sacrieur, et bombe et pistolet en main il visait le vieux musicien au trombonne. "Si quelqu'un d'autre ose s'opposer je descend le flutiste ! C'est une prise d'hôte d'age ! Et bien entendu vous laissez mes copines miné la salle sinon..."

L'albinos écarquille les yeux et se débat, ne faisant que pâle figure (c'est le cas de le dire) devant l'homme bien plus imposant qu'elle. Elle parvient à s'arrêter quelques instants pour envoyer son pied dans les parties du roublard, lui mordant vivement le bras.

Arrivée vers la sortie, la jeune femme s'agrippe au chambranle de la porte, enfonçant ses ongles dans le vieux bois.

Ce type a fait tomber du bois sur mon sanglier.
Et de la poussière.

Ca y est.
Ils me les cassent vraiment.
Et justement ça me donne envie de tout casser.

[Au moment où l'une des Roublardes tend la main pour s'emparer de sa pitance, il passe ses bras sous la table qu'il envoie valser devant lui -et au passage vers l'infortunée voleuse- avec une force surnaturelle]

*regarde tout autour d'elle et sourit*

Bon...fini de parler, il est tant de jouer.

La xélor se teleporte de partout dans la taverne pour regrouper comme elle peut les roublard...voyant la bombe pas encore allumer..elle decide de l'alimenter d'une flamiche et de s'avancer vers les quatre roublard, un sourire et un regard qui ne trompe pas, elle se fiche de tout....

Si ça te démange tant que ça de tiré...la bombe est la également ...et il ne reste que peu de temps pour vous avant d'exploser ou de décamper...
Que choisissez vous? rester jusqu'au bout, prendre les jambes a votre cou ?

Le groupe de brigands, quelque peu décontenancé par cette résistance, commence a douter de l'issu de cet affrontement. Tandis que le grand entame un repli stratégique plus communément appelé "fuite" et franchis la porte en semassant le ventre et en soulevant la serveuse par dessus son épaule, les roublards qui avaient la xelor et le sacrieur se mettent tiré au moment de réaparition de la xelor.

Les roublardes quand a elles jettent des bombes aux 4 coins de l'auberge." Vous ne vous en tirerez pas comme ca ! C'est toute l'enseigne qui va etre réduite en poussière, et vous aussi!" Elles terminent leur plan en entamant une fuite desordonée, recuperant toujours des objets de valeurs sur leur chemin.
"Eh aidez moi !" Gémit celle bloquée sous la lourde table qu'un aventurier lui a renverser dessus.
"Une autre fois peut etre ma belle, des bisous a ta famille" lui répondent les autres femmes, abandonnant leur camarade.

De nouveaux, coup de feu résonnent dans la pièce, deux musiciens s'écroulent lourdement, leurs instruments cuivrés roulent a leurs pieds.
Le plus petit des roublard ricanait en rechargeant ses "joujoux". "Fallait suivre les ordres ! Tout ce que vous avez gagner a nous resisté, c'est la mort!" Il s'élance vers la sortie, tirant en tout sens et semant de la poudre explosive pour relié des bombes entre elles.
De nouvelles victimes s'effondrent, le sang se melange au vin et a la biere renversée. Des cris de detresse se font entendee parmis les clients. C'est la panique, des femmes agripent la xelor, la suppliant de les sauvées, des ivrognes pointent des lames en direction de ce qu'ils pensent etre des ennemis, enfin ce qu'ils pensent etre de humains.
Une première explosion secoue violement l'auberge, un pan de mur se retrouvant au sol.

Le chaos s'est instalé !

*CRAK* *BRRRRRRM*
Réveillé violement par ses explosions, et remarquant un trou qui semblait être apparu lorsqu'il était endormi. Hikkigaya saute du lit, attrape ses getas, son solomonk et ses armes.

Mais qu'est ce que c'est qu'ce bordel ! Sa explose souvent une auberge ?! Pis on peut pas dormir tranquile....
Il s'approche de la fenetre et voyant un homme avec la serveuse se debattant sur son épaue juste en dessous, il brise le verre et saute par la fenetre pour atterir en roulant sur l'herbe gelée et dans le froid. Puis il s'élance et plante une de ses dagues dans le menton du grand roublard qui s'ecroule africhant un visage surpris et effrayé pour toujours, le sang gicle sur lui et la serveuse, il continue sa course et entre à nouveau dans l'auberge.
Il tombe sur le reste du groupe qui semble s'enfuir face a d'autres adversaire. Une odeur de poudre et de flamme lui chatouille les narines. Il hesite puis bloque le chemin des roublards.
"Ou est ce que vous allez comme ca les enfants ?"

Prend le coup de feu dans le cœur a sa réapparition mais garde son sang-froid...

Pardonnez-moi pour ceci...mais mon cœur est déjà prit, d'une balle percé, il aimerait...se venger

La Vampyre se libére des personnes qui l'agrippe, bombe a la main, elle se dirige vers celle qui semble être la meneuse..et envoie la bombe qui est proche d’éclater!

Merci de me facilité la tâche, je m'occupe de ces lâches !
Vous n'irez guère plus loin, votre fin est votre destin !
C'est en riant que je me baignerai dans votre sang.

Ne prêtant plus attention à celle qui risque d'y passer, elle se téléporte vers l'une des sbires pour l'attaquer d'une charge de sabre tandis que de son autre main elle visait la dernière mobile d'un rayon obscur, la sachant téléporter peu avant par ses soins, elle sait d'office que si le rayon la touche, elle en subirait de lourde conséquence.

[HRP]la Taverne de Michael Bay Very Happy

[/HRP]

Eh ben tu parles d'un bordel.
D'ailleurs ces lances-pierres bruyants,
ça existait pas de mon temps.

Et ça fait mal,
Un de leurs cailloux dans ma jambe.

Alors résumons.
Tout commence à péter,
Cette blessure limite mes mouvements,
Et la belle sous la table a mal choisi sa division.

On fait quoi ?

[Prenant appui sur sa jambe saine, il extirpe la Roublarde de sous la table pour la porter sous son bras, fait de même avec l'autre bras pour les deux musiciens au sol, avant de bondir vers le comptoir pour improviser une planque qui les protégerait peut-être des explosions, bousculant au passage quelques ivrognes affolés.]

"BAAAAAAAAAAAASTOOOOOOOOON !!! HARDI !! LAME AU CLAIR !!"

Le grand Sacrieur s'élance vers la castagne, frappant au hasard les personnes sur son chemin, se servant dans les assiettes çà et là au passage. Il se tourne vers le comptoir, grimpe dessus et lance un Sacrifice ainsi qu'un Transfert de Vie au petit groupe planqué.
Il assomme le Roublard en face de lui d'un coup de tête avant de plonger sa main dans sa cage thoracique pour lui arracher le coeur.

"Allez, fais gicler !!"

Ceci fait, il s'empresse de broyer le bras d'un des encapuchonné gisant au sol d'un coup de pied, tandis que celui-ci s'efforçait de tendre le bras vers son tromblon un peu plus loin.

"Aaah c'était sympa ça dis donc !! On remet ça quand vous voulez !!"

La serveuse enfin libre s'extirpe habilement des bras morts du roublard, puis se rend dans la taverne en courant dans le froid, s'arrête à l'entrée à la vue du spectacle et profite de quelques débris de bois par terre pour en prendre un et s'en faire une arme, poussant le passage pour rentrer dans la pagaille.

La jeune femme arrive enfin au niveau de l'autre serveuse paniquée et en larmes et lui chuchote quelque chose à l'oreille, esquivant les coups des ivrognes lancés au hasard avec l'aisance de l'habitude. Elle tente de rassembler un petit groupe des personnes les moins éméchées avec l'aide de l'autre serveuse et les emmène dans l'arrière-salle, en faisant passer plusieurs par la porte de derrière avec un calme et un professionnalisme remarquable.

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